CONTINUTE_ou discontinuité écologique
Détruire les ouvrages hydrauliques multiséculaires dans les cours d’eau ne sert à rien si les espèces amphihalines qui ont servi d’alibi à une idéologie sont en voie d’extinction.
L’Etat pérennise pourtant les paradoxes :
► en prenant soin de ne jamais convier le même jour les acteurs répondant du code de l’environnement ; 1 représentant syndical ou de fédération face à 6 ONG financées est un ratio habituel.
► en ne considérant les prétendus impacts en eau douce alors qu’il nous expose que les espèces migratrices vivent en mer.
Quel sort leur est-il réservé lors des 2/3 de leur vie ? Pourquoi ignorer les facteurs dévastateurs sur cette longue période et ne focaliser qu’en milieu dulçaquicole ? Les milliards d’euros dépensés en eau douce ont-ils un réel bénéfice sur les 2/3 de leur vie ? Aucune analyse coût-bénéfice (ACB) n’a jamais été conduite avec ce genre de questions pourtant élémentaires.
► en insistant tellement sur certaines incidences prédéfinies permettant d’en ignorer d’autres, probablement plus pénalisantes, dans une hiérarchisation des impacts jamais établie (pollutions, prédation, braconnage, pêche de loisir, chute des stocks halieutiques).
► en finançant massivement par le biais de l’UE depuis plus de vingt ans une armada de pêche industrielle jusqu’à l’extinction de la pêche artisanale respectueuse des milieux aquatiques.
Préparons les esprits à exiger :
- ETANGSDEF
- 02/01/2021
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