CONTINUITE_La destruction de notre patrimoine hydraulique
On ne peut pas s’empêcher de faire un parallèle entre les vociférations et l’excitation pour l’atteinte du "bon état 2015" ressassé en boucle -un échec cuisant- et l’extrême excitation sur les plantes invasives (la jussie et la renouée du Japon) qu’il fallait immédiatement éradiquer, un autre échec.
Cette effervescence, où chaque technicien de rivière avait le remède miracle, où des dépenses considérables d’argent public ont été engagées, a fait un flop : elles ont gagné toutes les deux faute de bon sens dans les méthodes de lutte. Elles envahissent les espaces publics.
- ETANGSDEF
- 09/09/2020
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